Article du Journal des femmes avec interview du Dr Marie-Paule Chariot Vice-Présidente du SNARF
Article Hospimedia : l'anesthésie-réanimation reste exclue des négociations de l'avenant 9
04/06 Tribune du Monde : La polyvalence des métiers susceptibles d’exercer la réanimation est la clé de voûte d’un système sanitaire réactif
20/05 What's up Doc Déprogrammations administratives en Auvergne-Rhône-Alpes : les cliniques voient rouge avec l'interview du Dr Julien Cabaton Secrétaire général adjoint du SNARF
26/03 BFMTV Lyon Déprogrammations avec les interviews des Drs Fourquet et Cabaton
23/04 Le progrès de Lyon : Déprogrammations ça ne passe plus du côté du privé, avec l'interview du Dr Julin Cabaton Secrétaire général adjoint du SNARF
19/04 Hospimedia : Des anesthésistes-réanimateurs denoncent les déprogrammations dans la région Auvergne-Rhône-Alpes (selon notre communiqué)
08/04 Le Progrès Covid-19 : une troisième vague au goût amer déferle "Mais du côté des médecins du privé, la mesure, qui avait déjà été difficile à avaler lors de la 2e vague, ne passe plus. « Elle est où l’égalité ? Et l’équité ? Seules 10% des infirmières de réanimation sont en libéral. L’effort à fournir n’est pas égalitaire. On ne fait pas le même métier que le public mais on veut nous imposer les mêmes contraintes. C’est une vraie méconnaissance de notre secteur. Nous faisons 60% de la chirurgie ambulatoire. Arrêter 100 % de la chirurgie, ça ne veut rien dire. Renoncer à des soins pour un patient, c’est inaudible », déplore le Dr Étienne Fourquet, médecin à la clinique du Val d’Ouest et président du syndicat national des anesthésistes-réanimateurs (Snarf)."
07/04 BFMTV Journal de 6h45 Interview du Dr Julien CABATON Secrétaire général adjoint du SNARF (déprogrammation de toutes les interventions en AURA)
04/04 CNEWS journal de 7h Interview du Dr Etienne FOURQUET
La controverse enfle depuis quelques jours entre les médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) et les praticiens de médecine intensive et réanimation (MIR). En cause : des données présentées par le Pr Éric Maury, président de la Société de réanimation de langue française (SRLF), lors de sa récente audition devant la commission d'enquête du Sénat sur l'épidémie, qui suggèrent une mortalité supérieure de patients Covid dans une unité gérée par des anesthésistes-réanimateurs.
Article publié dans La Dépêche du Midi avec l'interview du Dr Etienne Fourquet, Président du SNARF
Dans un rapport, la Haute Autorité de santé livre des pistes pour sécuriser le parcours des patients lors d'une chirurgie de la cataracte. Les anesthésistes-réanimateurs font savoir leur opposition à cette proposition.
Publié le 22/06/20 - 17h32
Mobilisés «en 72 heures» pendant la crise sanitaire, ces libéraux venus en renfort, à l’image de Jennifer, qui a coordonné l’ouverture du centre Covid-19 de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), ne décolèrent pas.
« Comparé aux hospitaliers qui ont leur salaire, les gardes et la prime pour l'effort Covid, les libéraux n'ont rien de tout ça, confirme le Dr Pierre Lanot, secrétaire général du syndicat des anesthésistes réanimateurs de France. Avec l'aide de l'ARS qui nous a bien soutenu, on a obtenu une compensation pour ceux qui ont participé à l'effort Covid. C'est très bien, c'est validé, mais après il faut le mettre en place et ça va être un peu long car en Ile-de-France, 60 à 70 établissements sont concernés. »
Le Dr Étienne Fourquet, 50 ans, a été élu le 2 juin à la tête du syndicat national des anesthésistes-réanimateurs (SNARF). Libéral près de Lyon, le spécialiste veut prendre à bras-le-corps les dossiers tarifaires.
Avec le déconfinement, le retour à l'activité normale s'avère plus compliqué que prévu pour les établissements confrontés à une pénurie de médicaments et aux consignes parfois floues des autorités de tutelle. D'autant que l'hypothèse d'une deuxième vague épidémique plane toujours.
Ils ont fait leurs études sur les mêmes bancs, exercent parfois à quelques centaines de mètres les uns des autres mais ne se parlent peu ou plus depuis qu'ils ont choisi pour les uns le public, pour les autres le privé. La crise sanitaire a cassé la brisure traditionnelle entre les médecins des hôpitaux et des cliniques qui, sur tout le territoire, ont collaboré avec succès pour prendre en charge tous les patients, Covid ou non.